Tuesday, August 21, 2012
Contest
September Contest
WIN Just Dance Greatest Hits, courtesy of Ubisoft, here.
Simply leave your name and email and you'll be entered in the draw to win!
Feature: The Great Video Game Dance Off
Could video dance games change the way we move?
By Lys Stevens
Summary | Sommaire
Dance video (known as “rhythm”) games have experienced an exponential growth ever since Dance Dance Revolution hit video arcades at the end of the last century.
Le jeu vidéo de danse (ou de rythme) connaît une croissance exponentielle depuis que Dance Dance Revolution est introduit dans les arcades à la fin du dernier siècle.
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Dance video (known as “rhythm”) games have experienced an exponential growth ever since Dance Dance Revolution hit video arcades at the end of the last century. Here game-controls shifted from the hands to the feet, thereby lifting gamers off their butts and into movement. The rhythm game market continues to expand, thanks in a large part to danced-based games such as Just Dance and Dance Central, more recently incorporating the use of camera-based controls such as Kinect. Kinect has potentially powerful repercussions on the world of dance even beyond the gaming community. The system captures, processes and digitally reproduces movement in real time, making it possible for the computer to evaluate how accurately the body meets its spatial and rhythmic goal. No more need for a touch-responsive controller: the player is the joystick. Writer Lys Stevens explores the ramifications of this popular new virtual technology on the real world of dance.
Le jeu vidéo de danse (ou de rythme) connaît une croissance exponentielle depuis que Dance Dance Revolution est introduit dans les arcades à la fin du dernier siècle. Ici, les contrôles du jeu passent des mains aux pieds ; le joueur sort de son fauteuil et commence à bouger. Le marché du jeu de rythme continue à prendre de l’ampleur, en grande partie grâce aux jeux de danse tels que Just Dance et Dance Central et, dernièrement, aux contrôles caméras comme Kinect. Il est possible que Kinect ait des répercussions sérieuses dans le milieu de la danse au-delà de la communauté du jeu vidéo. Le système capte, lit et reproduit le mouvement en temps réel. L’ordinateur peut évaluer avec quel succès le corps vivant exécute des objectifs spatiaux et rythmiques. Nul besoin d’une manette sensible au toucher : le joueur devient la manette. La rédactrice Lys Stevens explore les ramifications de cette nouvelle technologie populaire virtuelle dans le monde réel de la danse.
Read the full article in the September/October 2012 issue of The Dance Current print magazine. | Lisez l'article intégral dans l’édition imprimée de septembre/octobre 2012 du Dance Current.
By Lys Stevens
Summary | Sommaire
Dance video (known as “rhythm”) games have experienced an exponential growth ever since Dance Dance Revolution hit video arcades at the end of the last century.
Le jeu vidéo de danse (ou de rythme) connaît une croissance exponentielle depuis que Dance Dance Revolution est introduit dans les arcades à la fin du dernier siècle.
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Dance video (known as “rhythm”) games have experienced an exponential growth ever since Dance Dance Revolution hit video arcades at the end of the last century. Here game-controls shifted from the hands to the feet, thereby lifting gamers off their butts and into movement. The rhythm game market continues to expand, thanks in a large part to danced-based games such as Just Dance and Dance Central, more recently incorporating the use of camera-based controls such as Kinect. Kinect has potentially powerful repercussions on the world of dance even beyond the gaming community. The system captures, processes and digitally reproduces movement in real time, making it possible for the computer to evaluate how accurately the body meets its spatial and rhythmic goal. No more need for a touch-responsive controller: the player is the joystick. Writer Lys Stevens explores the ramifications of this popular new virtual technology on the real world of dance.
Le jeu vidéo de danse (ou de rythme) connaît une croissance exponentielle depuis que Dance Dance Revolution est introduit dans les arcades à la fin du dernier siècle. Ici, les contrôles du jeu passent des mains aux pieds ; le joueur sort de son fauteuil et commence à bouger. Le marché du jeu de rythme continue à prendre de l’ampleur, en grande partie grâce aux jeux de danse tels que Just Dance et Dance Central et, dernièrement, aux contrôles caméras comme Kinect. Il est possible que Kinect ait des répercussions sérieuses dans le milieu de la danse au-delà de la communauté du jeu vidéo. Le système capte, lit et reproduit le mouvement en temps réel. L’ordinateur peut évaluer avec quel succès le corps vivant exécute des objectifs spatiaux et rythmiques. Nul besoin d’une manette sensible au toucher : le joueur devient la manette. La rédactrice Lys Stevens explore les ramifications de cette nouvelle technologie populaire virtuelle dans le monde réel de la danse.
Read the full article in the September/October 2012 issue of The Dance Current print magazine. | Lisez l'article intégral dans l’édition imprimée de septembre/octobre 2012 du Dance Current.
In Conversation: Julia Sasso and Eve Egoyan
Summary | Sommaire
SLoE pays tribute to the late Ann Southam who wrote the piano score with Egoyan in mind and then invited Sasso to make a dance to it.
SLoE est un hommage à feue Ann Southam qui a composé la partition piano pour Egoyan, et qui a ensuite invité Sasso à créer une danse sur la musique.
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On September 27th, Julia Sasso Dances, in association with Harbourfront Centre, will present the world premiere of SLoE – Simple Lines of Enquiry, running until September 30th at the Enwave Theatre at Harbourfront Centre in Toronto. Choreographed and directed by Sasso, the new work features pianist Eve Egoyan and dancers Angela Blumberg, Irvin Chow, Jesse Dell, Vanessa Goodman, Susan Lee and Deanna Peters. SLoE pays tribute to the late Ann Southam who wrote the piano score with Egoyan in mind and then invited Sasso to make a dance to it. Sasso says of Southam’s work and its provocative title, “It’s so related to my personal dance aesthetic. I love simplicity, I love purity, I love line in space. And I love questions.” The production celebrates femaleness, women’s work and the feminine perspective in dance, music and design. Articulating their respective feelings about working with music and dance, Sasso and Egoyan sat down for a conversation about their work on SLoE this past summer.
En association avec le Harbourfront Centre, Julia Sasso Dances présente la première de SLoE – Simple Lines of Enquiry au Enwave Theatre à Toronto, du 27 au 30 septembre 2012. La chorégraphie de Sasso met en vedette la pianiste Eve Egoyan et les interprètes Angela Blumberg, Irvin Chow, Jesse Dell, Vanessa Goodman, Susan Lee et Deanna Peters. SLoE est un hommage à feue Ann Southam qui a composé la partition piano pour Egoyan, et qui a ensuite invité Sasso à créer une danse sur la musique. « C’est tellement lié à mon esthétique personnelle en danse », explique Sasso, en parlant de la pièce et du titre évocateur de Southam. « J’aime la simplicité, j’aime la pureté, j’aime les lignes dans l’espace. Et j’aime les questions », ajoute-t-elle. La production célèbre la féminité, l’œuvre des femmes et la perspective des femmes en danse, en musique et en conception visuelle. Sasso et Egoyan articulent leurs sentiments sur le travail en musique et en danse lors d’une discussion sur leur travail dans le cadre de SLoE à l’été 2012.
Learn more >> www.harbourfrontcentre.com
Read the full interview in the September/October 2012 issue of The Dance Current print magazine. | Lisez l'article intégral dans l’édition imprimée de septembre/octobre 2012 du Dance Current.
Irvin Chow, Susan Lee and Jesse Dell in SLoE by Julia Sasso / Photo by John Lauener
SLoE est un hommage à feue Ann Southam qui a composé la partition piano pour Egoyan, et qui a ensuite invité Sasso à créer une danse sur la musique.
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On September 27th, Julia Sasso Dances, in association with Harbourfront Centre, will present the world premiere of SLoE – Simple Lines of Enquiry, running until September 30th at the Enwave Theatre at Harbourfront Centre in Toronto. Choreographed and directed by Sasso, the new work features pianist Eve Egoyan and dancers Angela Blumberg, Irvin Chow, Jesse Dell, Vanessa Goodman, Susan Lee and Deanna Peters. SLoE pays tribute to the late Ann Southam who wrote the piano score with Egoyan in mind and then invited Sasso to make a dance to it. Sasso says of Southam’s work and its provocative title, “It’s so related to my personal dance aesthetic. I love simplicity, I love purity, I love line in space. And I love questions.” The production celebrates femaleness, women’s work and the feminine perspective in dance, music and design. Articulating their respective feelings about working with music and dance, Sasso and Egoyan sat down for a conversation about their work on SLoE this past summer.
En association avec le Harbourfront Centre, Julia Sasso Dances présente la première de SLoE – Simple Lines of Enquiry au Enwave Theatre à Toronto, du 27 au 30 septembre 2012. La chorégraphie de Sasso met en vedette la pianiste Eve Egoyan et les interprètes Angela Blumberg, Irvin Chow, Jesse Dell, Vanessa Goodman, Susan Lee et Deanna Peters. SLoE est un hommage à feue Ann Southam qui a composé la partition piano pour Egoyan, et qui a ensuite invité Sasso à créer une danse sur la musique. « C’est tellement lié à mon esthétique personnelle en danse », explique Sasso, en parlant de la pièce et du titre évocateur de Southam. « J’aime la simplicité, j’aime la pureté, j’aime les lignes dans l’espace. Et j’aime les questions », ajoute-t-elle. La production célèbre la féminité, l’œuvre des femmes et la perspective des femmes en danse, en musique et en conception visuelle. Sasso et Egoyan articulent leurs sentiments sur le travail en musique et en danse lors d’une discussion sur leur travail dans le cadre de SLoE à l’été 2012.
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Read the full interview in the September/October 2012 issue of The Dance Current print magazine. | Lisez l'article intégral dans l’édition imprimée de septembre/octobre 2012 du Dance Current.
Report: Teaching Dance Using the Internet: will it catch on?
By Chick Snipper
Summary | Sommaire
Google any physical practice and Internet surfers can find tons of stuff, from written descriptions and diagrams to instructional films with voiceovers and music. It’s all there to consume, much of it in bits and pieces - the Internet excels at the “sound bite” approach to learning and education.
Cherchez n’importe quelle pratique physique dans Google. Internet regorge de contenu, de textes descriptifs et de diagrammes à des vidéos d’instructions avec des voix hors champ et de la musique. Tout est là pour consommation, souvent par bribe, puisque le média se distingue par une approche fragmentaire à l’apprentissage et à l’enseignement.
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Google any physical practice and Internet surfers can find tons of stuff, from written descriptions and diagrams to instructional films with voiceovers and music. It’s all there to consume, much of it in bits and pieces - the Internet excels at the “sound bite” approach to learning and education. But is it an appropriate tool when training the body in a specialized physical technique such as dance? Can a student learn complicated moves, the mechanics of a jeté for example, from a disembodied teacher? As the National Ballet School’s Laurel Toto puts it: “…The creativity, dialogue, detail and intimacy required in learning the art form? [Dancers] can only get these crucial elements when teaching and learning live in the studio.” But that’s only one side of the story. From Master Woo’s online TaeKwonDo tutorials to adventures in new technology from the venerable Royal Academy of Dance, writer Chick Snipper explores the brave new world of online dance instruction.
Cherchez n’importe quelle pratique physique dans Google. Internet regorge de contenu, de textes descriptifs et de diagrammes à des vidéos d’instructions avec des voix hors champ et de la musique. Tout est là pour consommation, souvent par bribe, puisque le média se distingue par une approche fragmentaire à l’apprentissage et à l’enseignement. Cependant, est-ce un outil adapté pour entraîner le corps dans une technique spécialisée telle que la danse ? Un élève peut-il apprendre des gestes complexes, par exemple, la mécanique d’un jeté, d’un enseignant désincarné ? Selon Laurel Toto de l’École nationale de ballet, « … la créativité, le dialogue, le détail et l’intimité requis pour l’apprentissage de l’art ? Le danseur peut seulement accéder à ces éléments incontournables avec l’enseignement et l’apprentissage en studio. » Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Des interventions éducatives de Taekwondo en ligne par Master Woo aux aventures en nouvelles technologies de la vénérable Royal Academy of Dance, la rédactrice Chick Snipper explore le meilleur des mondes de l’enseignement Web en danse.
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http://youtube/AwnrWqwvTH0
www.sharingdance.ca
http://www.radcanada.org/courses.htm
Read the full report in the September/October 2012 issue of The Dance Current print magazine. | Lisez l'article intégral dans l’édition imprimée de septembre/octobre 2012 du Dance Current.
Summary | Sommaire
Google any physical practice and Internet surfers can find tons of stuff, from written descriptions and diagrams to instructional films with voiceovers and music. It’s all there to consume, much of it in bits and pieces - the Internet excels at the “sound bite” approach to learning and education.
Cherchez n’importe quelle pratique physique dans Google. Internet regorge de contenu, de textes descriptifs et de diagrammes à des vidéos d’instructions avec des voix hors champ et de la musique. Tout est là pour consommation, souvent par bribe, puisque le média se distingue par une approche fragmentaire à l’apprentissage et à l’enseignement.
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Cherchez n’importe quelle pratique physique dans Google. Internet regorge de contenu, de textes descriptifs et de diagrammes à des vidéos d’instructions avec des voix hors champ et de la musique. Tout est là pour consommation, souvent par bribe, puisque le média se distingue par une approche fragmentaire à l’apprentissage et à l’enseignement. Cependant, est-ce un outil adapté pour entraîner le corps dans une technique spécialisée telle que la danse ? Un élève peut-il apprendre des gestes complexes, par exemple, la mécanique d’un jeté, d’un enseignant désincarné ? Selon Laurel Toto de l’École nationale de ballet, « … la créativité, le dialogue, le détail et l’intimité requis pour l’apprentissage de l’art ? Le danseur peut seulement accéder à ces éléments incontournables avec l’enseignement et l’apprentissage en studio. » Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Des interventions éducatives de Taekwondo en ligne par Master Woo aux aventures en nouvelles technologies de la vénérable Royal Academy of Dance, la rédactrice Chick Snipper explore le meilleur des mondes de l’enseignement Web en danse.
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http://youtube/AwnrWqwvTH0
www.sharingdance.ca
http://www.radcanada.org/courses.htm
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Wednesday, August 15, 2012
Photo Essay: Flight of Fancy / Un peu de fantaisie
The Magic of Cirque du Soleil / La magie du Cirque du Soleil
Artists of Cirque du Soleil in Amaluna / Photos by Laurence Labat, costumes by Mérédith Caron
Cirque du Soleil began as a group of Quebec street performers in 1984. Today it is the acclaimed producer of multiple circus-theatre spectacles touring the world. Cirque’s newest creation is Amaluna, an exploration of female perspectives in mythology.
Au départ, en 1984, le Cirque du Soleil est une troupe québécoise de théâtre de rue. Aujourd’hui, c’est un producteur acclamé de multiples spectacles de cirque théâtral qui tournent partout dans le monde.
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Written and directed by Diane Paulus with choreography by Karole Armitage, Caitlin Maggs and Debra Brown and acrobatic performance design by Rob Bollinger, the show is full of fast-paced tumbling and aerial routines. Amaluna’s acrobatic coach Stacy Clark (who co-founded High Strung Aerial Dance in 2000 and has been an acrobatic talent scout for Cirque since 2008) points out that working with such a roomful of established movement talent pushed the young cast of athletes to “dig deep within their artistic and creative selves”. This photo essay gives a taste of the enchanted world of Amaluna, the athleticism and the artistry that goes into making magic.
Amaluna, la dernière création de l’entreprise, explore les perspectives féminines en mythologie. Écrit et mit en scène par Diane Paulus avec des chorégraphies de Karole Armitage, Caitlin Maggs et Debra Brown et une conception de la performance acrobatique de Rob Bollinger, le spectacle est une série rapide de numéros de cascades et d’acrobatie aérienne. L’entraîneure acrobatique Stacy Clark (cofondatrice de High Strung Aerial Dance en 2000) est dépisteure acrobatique au Cirque depuis 2008. Travailler avec autant de maîtres reconnus en mouvement a poussé la distribution de jeunes artistes à « puiser leurs propres talents artistiques et créatifs », souligne-t-elle. Cette collection de photos offre un aperçu du royaume enchanté d’Amaluna, et de l’athlétisme et de l’art qui créent la magie.
Amaluna opens in Toronto on September 5th under the Grand Chapiteau at The Port Lands and in Vancouver on November 23rd at Concord Pacific Place.
Learn more >> www.cirquedusoleil.com
Amuluna est présenté à partir du 5 septembre à Toronto sous le Grand Chapiteau aux Port Lands et à Vancouver à partir du 23 novembre au Concord Pacific Place.
Pour en savoir plus >> www.cirquedusoleil.com
Artists of Cirque du Soleil in Amaluna / Photos by Laurence Labat, costumes by Mérédith Caron
Cirque du Soleil began as a group of Quebec street performers in 1984. Today it is the acclaimed producer of multiple circus-theatre spectacles touring the world. Cirque’s newest creation is Amaluna, an exploration of female perspectives in mythology.
Au départ, en 1984, le Cirque du Soleil est une troupe québécoise de théâtre de rue. Aujourd’hui, c’est un producteur acclamé de multiples spectacles de cirque théâtral qui tournent partout dans le monde.
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Written and directed by Diane Paulus with choreography by Karole Armitage, Caitlin Maggs and Debra Brown and acrobatic performance design by Rob Bollinger, the show is full of fast-paced tumbling and aerial routines. Amaluna’s acrobatic coach Stacy Clark (who co-founded High Strung Aerial Dance in 2000 and has been an acrobatic talent scout for Cirque since 2008) points out that working with such a roomful of established movement talent pushed the young cast of athletes to “dig deep within their artistic and creative selves”. This photo essay gives a taste of the enchanted world of Amaluna, the athleticism and the artistry that goes into making magic.
Amaluna, la dernière création de l’entreprise, explore les perspectives féminines en mythologie. Écrit et mit en scène par Diane Paulus avec des chorégraphies de Karole Armitage, Caitlin Maggs et Debra Brown et une conception de la performance acrobatique de Rob Bollinger, le spectacle est une série rapide de numéros de cascades et d’acrobatie aérienne. L’entraîneure acrobatique Stacy Clark (cofondatrice de High Strung Aerial Dance en 2000) est dépisteure acrobatique au Cirque depuis 2008. Travailler avec autant de maîtres reconnus en mouvement a poussé la distribution de jeunes artistes à « puiser leurs propres talents artistiques et créatifs », souligne-t-elle. Cette collection de photos offre un aperçu du royaume enchanté d’Amaluna, et de l’athlétisme et de l’art qui créent la magie.
Amaluna opens in Toronto on September 5th under the Grand Chapiteau at The Port Lands and in Vancouver on November 23rd at Concord Pacific Place.
Learn more >> www.cirquedusoleil.com
Amuluna est présenté à partir du 5 septembre à Toronto sous le Grand Chapiteau aux Port Lands et à Vancouver à partir du 23 novembre au Concord Pacific Place.
Pour en savoir plus >> www.cirquedusoleil.com
Profile: Rachel Browne's Enduring Dance
Our tribute to a trailblazer and constant mentor
By Carol Anderson
Summary | Sommaire
Call Rachel Browne a trail-blazer, a matriarch, a founder of Canadian dance – driven by her evolving artistry, political convictions and resilient tenacity, she accomplished extraordinary feats.
Rachel Browne : chef de file, matrone et une des fondatrices de la danse canadienne. Poussée par son art en évolution, ses convictions politiques et une ténacité certaine, elle a réalisé des exploits extraordinaires.
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Call Rachel Browne a trail-blazer, a matriarch, a founder of Canadian dance – driven by her evolving artistry, political convictions and resilient tenacity, she accomplished extraordinary feats. Founder of Winnipeg’s Contemporary Dancers and the School of Contemporary Dancers, a tirelessly active choreographer, performer and teacher, her achievements changed the landscape of Canadian modern dance.
Rachel Browne’s passing, on June 9th, 2012, ends her own long path through dance. It’s left to others to recall her with love and respect, and attend to the resonance of her significance in Canadian dance. Stephanie Ballard, the school archivist/artist-in-residence, notes how Winnipeg’s closely interwoven dance lineage stems from Browne’s presence: “The roots are strong, and the tree has many branches.” In fact those branches reach far and wide. Writer Carol Anderson collects memories from across the country in this loving tribute to a pioneer of Canadian dance.
Rachel Browne : chef de file, matrone et une des fondatrices de la danse canadienne. Poussée par son art en évolution, ses convictions politiques et une ténacité certaine, elle a réalisé des exploits extraordinaires. Fondatrice des Winnipeg’s Contemporary Dancers et de la School of Contemporary Dancers, et chorégraphe, interprète et enseignante active et infatigable, elle a changé le paysage de la danse moderne au Canada. Son décès le 9 juin 2012 conclut son propre parcours en danse. D’autres doivent maintenant s’en souvenir avec amour et respect, et se pencher sur sa résonance dans la danse canadienne. Stephanie Ballard, archiviste et artiste en résidence à l’école, note l’importance de Browne dans la fibre de l’héritage de la danse à Winnipeg. « Les racines sont fortes et l’arbre est fourni », décrit-elle. Et les branches de l’arbre se rendent loin. La rédactrice Carol Anderson recueille des souvenirs d’un océan à l’autre en honneur d’une pionnière de la danse canadienne.
Learn more >> www.winnipegscontemporarydancers.ca
Read the full profile in the September/October 2012 issue of The Dance Current print magazine. | Lisez l'article intégral dans l’édition imprimée de septembre/octobre 2012 du Dance Current.
By Carol Anderson
Summary | Sommaire
Rachel Browne / Photo by Robert Tinker
Rachel Browne : chef de file, matrone et une des fondatrices de la danse canadienne. Poussée par son art en évolution, ses convictions politiques et une ténacité certaine, elle a réalisé des exploits extraordinaires.
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Call Rachel Browne a trail-blazer, a matriarch, a founder of Canadian dance – driven by her evolving artistry, political convictions and resilient tenacity, she accomplished extraordinary feats. Founder of Winnipeg’s Contemporary Dancers and the School of Contemporary Dancers, a tirelessly active choreographer, performer and teacher, her achievements changed the landscape of Canadian modern dance.
Rachel Browne’s passing, on June 9th, 2012, ends her own long path through dance. It’s left to others to recall her with love and respect, and attend to the resonance of her significance in Canadian dance. Stephanie Ballard, the school archivist/artist-in-residence, notes how Winnipeg’s closely interwoven dance lineage stems from Browne’s presence: “The roots are strong, and the tree has many branches.” In fact those branches reach far and wide. Writer Carol Anderson collects memories from across the country in this loving tribute to a pioneer of Canadian dance.
Rachel Browne : chef de file, matrone et une des fondatrices de la danse canadienne. Poussée par son art en évolution, ses convictions politiques et une ténacité certaine, elle a réalisé des exploits extraordinaires. Fondatrice des Winnipeg’s Contemporary Dancers et de la School of Contemporary Dancers, et chorégraphe, interprète et enseignante active et infatigable, elle a changé le paysage de la danse moderne au Canada. Son décès le 9 juin 2012 conclut son propre parcours en danse. D’autres doivent maintenant s’en souvenir avec amour et respect, et se pencher sur sa résonance dans la danse canadienne. Stephanie Ballard, archiviste et artiste en résidence à l’école, note l’importance de Browne dans la fibre de l’héritage de la danse à Winnipeg. « Les racines sont fortes et l’arbre est fourni », décrit-elle. Et les branches de l’arbre se rendent loin. La rédactrice Carol Anderson recueille des souvenirs d’un océan à l’autre en honneur d’une pionnière de la danse canadienne.
Rachel Browne in Nothing Past The Swans (1986) by Tedd Robinson / Photo by Robert Tinker
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