By Philip Szporer
Summary | Sommaire
Hari Krishnan / Photo by Miles Brokenshire
À l’été 2012, à l’occasion de sa 80e édition, le festival de danse, Jacob’s Pillow célèbre les réalisations de Ted Shawn et de sa compagnie d’hommes avec The Men Dancers: From the Horse’s Mouth, un concert avec des danseurs masculins vedettes – d’Arthur Mitchell et de Lar Lubovitch, à Josh Beamish et à Hari Krishnan. Chaque participant interprétait une chorégraphie originale et partageait une brève anecdote personnelle.
More...
Krishnan’s layered solo about discrimination, the Other, and empowerment, Pissing off the Neighbours was a highlight. Krishnan works with a plethora of information, whether drawn from research in bharatanatyam, hiphop, martial arts, ballet and drag or more broad-based pop culture. “… I am most committed to aesthetic exchange and dialogue”, he says, “[I want to] move audiences to think beyond … binaries and celebrate secular traditions of eroticism and the body.” Philip Szporer writes about Krishnan’s methodology and oeuvre in this far-ranging exploration of one man dancing.
Le solo de Krishnan sur la discrimination, l’autre et l’affirmation de l’autonomie, Pissing off the Neighbours, se démarquait du lot. Krishnan puise une pléthore d’information et de recherche, que ce soit en bharatanatyam, en hip-hop, en arts martiaux, en ballet, en drag ou en culture populaire. « L’échange esthétique et le dialogue m’interpellent le plus », dit-il, « je veux que le public pense au-delà du binarisme, et célèbre les traditions séculaires d’érotisme et du corps. » Ici, Philip Szporer écrit sur la méthodologie et l’œuvre de Krishnan dans une exploration poussée d’un homme qui danse.
Read the full article in the January/February 2013 issue of The Dance Current print magazine. | Lisez l'article intégral dans l’édition imprimée de janvier/février 2013 du Dance Current.
No comments:
Post a Comment