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Caroline Paré and "Mambo D" Delille Thomas at ¡ Vacilón ! by BIYA Productions / Photo by Marie-José Hains
Montréal writer Lys Stevens explores the vibrant culture of Latin dance and discovers that Samba, the dance she is currently developing a passion for, is one of the few forms that is not a partner dance.
La rédactrice montréalaise Lys Stevens explore la vive culture de la danse latine. Elle découvre que la samba – pour laquelle elle développe une passion – est une des rares formes de danse latine solo.
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Montréal writer Lys Stevens explores the vibrant culture of Latin dance and discovers that Samba, the dance she is currently developing a passion for, is one of the few forms that is not a partner dance. Merengue and bachata from the Dominican Republic; the cha-cha-cha, mambo and rumba from Cuba; forró and lambada from Brazil, the Argentine tango and the hugely popular salsa, are all dances performed in a couple. The multiplicity of forms and the interconnections of influences between them are dizzy-ing to a novice practitioner such as Stevens. What they have in common, including samba, is an Afro-Latino rhythmic base. Latin dance is a story of the displacement of peoples: at its foundation, Latin America is an uneven mix of indigenous peoples, European colonizers and Africans brought during the centuries-long trans-Atlantic slave trade of the fifteenth to eighteenth centuries. The mix creates a rich complex of cultural expressions, with dance a vital and treasured element among them. According to Montreal salsa dancer and teacher Caroline Paré, these are also ‘street’ dances: underground urban popular social dances that emerged as a social release and celebration of cultural roots. Many of these dances have a more refined ballroom dance counterpart that often has very little to do with the street form danced by the people who created them. But both streams are increasingly lending their energy and infectious qualities to the wider culture of dance in Canada.
La rédactrice montréalaise Lys Stevens explore la vive culture de la danse latine. Elle découvre que la samba – pour laquelle elle développe une passion – est une des rares formes de danse latine solo. Le merengue et la bachata de la République dominicaine ; le cha-cha-cha, le mambo et la rumba de Cuba ; le forró et la lambada du Brésil, le tango argentin et la très populaire salsa : voilà toutes des danses de couple. La multiplicité de formes et de filiations peut être étourdissante pour une débutante comme Stevens. Tous les styles, y compris la samba, partagent une base rythmique afro-latine. L’histoire de la danse latine s’inscrit dans la dispersion de peuples. À la base, l’Amérique latine est un mélange irrégulier d’autochtones, de colonisateurs et d’Africains déportés au cours de la traite des esclaves du quinzième au dix-huitième siècle. Le métissage donne lieu à un amalgame complexe d’expressions culturelles où la danse fait très bonne figure. Selon la Montréalaise Caroline Paré, artiste de danse salsa, les danses latines sont aussi des danses de rue, des danses sociales urbaines et marginales qui ont émergé comme échappatoire sociale et expression de traditions culturelles. Plusieurs styles comptent une contrepartie plus raffinée en danse de salon qui tient souvent très peu de la forme populaire et des peuples qui l’ont créée. Néanmoins, les deux courants prêtent de plus en plus leur énergie et leurs qualités contagieuses à la culture de danse au Canada.
Read the full article by Lys Stevens in the January/February 2012 issue of The Dance Current print magazine. | Lisez l'article intégral de Lys Stevens dans l’édition imprimée de janvier/février 2012 du Dance Current.
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